Crédit photo Léo Hunout

Léo HunoutIngénieur support de la communauté IA sur le supercalculateur Jean Zay

Léo Hunout, ingénieur Inria, a rejoint l’Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS – CNRS) en 2022 en tant qu’ingénieur support de la communauté IA sur le supercalculateur Jean Zay.

 

Sur quels types de problématiques en IA travaillez-vous ?

Au sein du PNRIA, mon travail consiste à mettre mes compétences en IA et en développement logiciel au service de la communauté scientifique. 
Pour ce faire, je travaille directement avec les chercheurs sur leur projet. De plus, je participe à les former aux différents outils et méthodes utilisés en machine learning/deep learning. 
J'interviens principalement dans des cours (FIDLE), des DevTalks, des hackathons ainsi que des workshops.

 

Qu’avez-vous fait avant d’entrer à l'IDRIS ? Pourquoi avoir choisi l'IDRIS ?

J'ai réalisé mes études à l'INSA Centre Val de Loire en génie des systèmes industriels. J'étais initialement orienté vers les systèmes embarqués. 
C'est grâce à mes stages que j'ai découvert le monde de l'IA.
Le premier portait sur la conception d'un cluster de calcul pour de l'apprentissage par renforcement asynchrone et le second sur le développement d'une intelligence artificielle embarquée.
J'ai rejoint Inria juste après mon diplôme afin de pouvoir travailler sur des projets très avancés en intelligence artificielle, tout contribuant à la recherche.

 

 

Compétences en IA :

  • Python
  • C/C++
  • PyTorch
  • PyTorch Lightning
  • Tensorflow

Contributions aux projets suivants dans le cadre du PNRIA :

Activités complémentaires à l'IDRIS :

Au sein du support utilisateurs de l’IDRIS, j’aide les utilisateurs du supercalculateur Jean Zay à résoudre leurs problèmes techniques ou méthodologiques liés à l’IA ou au HPC.
Je réalise aussi de la veille technologique sur l'apprentissage optimisé et les modèles SOTA.
Au sein de l'INRIA, je participe au développement de StarPU (bibliothèque de programmation de tâches pour les architectures hybrides) et surtout de son utilisation sur Jean Zay.