Etienne Bouillot | Crédit photo loic.cosprod

Etienne BouillotIngénieur en intelligence artificielle

Etienne Bouillot a rejoint le Grenoble Alpes Recherche-Infrastructure de CAlcul Intensif et de Données (GRICAD - CNRS/Inria/Université Grenoble Alpes) en 2021 en tant qu’ingénieur IA.

 

Sur quels types de problématiques en IA travaillez-vous ?

Actuellement, je travaille sur trois concepts différents : 
- L'intelligence artificielle (IA) pour le sport et la médecine, pour classifier et caractériser différents états de blessures autour des ligaments croisés
- L'IA pour les véhicules autonomes, avec la prise en main et la personnalisation d'un calculateur Nvidia 
- L'interopérabilité des modèles de machine learning et de DeepLearning afin de pouvoir faire communiquer et travailler ensemble des modèles venant de framework IA très différents. 

 

Qu’avez-vous fait avant d’entrer au CNRS ? Pourquoi avoir choisi le CNRS ?

Avant d'entrer au CNRS, j'ai fait des études d'ingénieur à l'ENSE3 à Grenoble, une école relativement généraliste où je me suis spécialisé en Automatique et Systèmes Intelligents. En parallèle de ma dernière année, j'ai suivi un Master de Recherche en Sciences Cognitives pour approfondir mes connaissances en IA et en modèles bio-inspirés. 
J'ai ensuite effectué mon stage de fin d'étude au Gipsa-lab à Grenoble sur des optimisations de classifieurs machine learning pour les interfaces cerveaux-machines. 
Pendant mes études et plus particulièrement mes six mois de stage, je me suis rendu compte que je trouvais beaucoup plus de stimulation dans la recherche par rapport à d'autres expériences en entreprise privée. Le CNRS est donc venu naturellement pour moi comme un choix idéal.  

 

 

Compétences en IA :

  • Langages : Python, Julia, Matlab
  • Frameworks : PyTorch, Keras/TensorFlow
  • Outils : WandB 

Contributions aux projets suivants dans le cadre du PNRIA :

Activités complémentaires au GRICAD :

  • Travail préparatoire sur l'uniformisation de recherches en psychologie pour analyse IA 
  • Projet de traitement automatique des langues (NLP) pour étudier l'évolution des laboratoires de recherches en mathématique à partir des rapports annuels fournis par les unités.